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11 août 2011

I'll be back!

J'ai un peu (hyperbole, parce que le mot approprié est totalement) délaissé cet espace d'expression, bien trop occupée à la fabrication de yaourt maison, l'intégrale des épisodes de Friends (pour la sixième fois) et le recensement de tous les films avec des chiens qui parlent. Je ne blog plus beaucoup car mon quotidien a l'intensité dramatique d'un épisode d'Hélène et les garçons.

Vous pouvez arrêter votre grève de la faim, recommencer à acheter Public et brûler vos pancartes car je compte bien revenir! Nouveau blog, nouveau concept... Enfin disons un blog avec un arrière plan qui n'a pas une couleur de houmous périmé, et concept plus percutant que "raconter ma vie, mes déboires et écrire quand j'ai pas envie d'étudier".

I'll be back!

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24 février 2011

Tomorrow is a different day

procrastinationAujourd'hui, et parce que ma générosité est sans limite, voici pour vous les 3 situations où utiliser le mot procrastination.

1. Briller en société: Parce que "procrastination" est un mot dans standard plus élevé que l'expression "j'ai la flemme je ferai ça demain" le terme ci-dessus, placé en toute discrétion dans une discussion mondaine et hautement intellectuelle, vous permettra de gravir les échelons de la considération sociale.

2. Entamer la discussion: délicatement publié sur votre page Facebook, un statut contenant le vocable dont cet article fait l'éloge vous permettra à vous et à vos amis (ou pas) d'entreprendre une conversation de la plus haute importance sur l'approfondissement de vos connaissances matière à examen.

3. Se sentir utile: Avant tout parce que vous venez de cultiver le monde entier prouvant qu'il est possible d'utiliser des mots intellectuels pour dire des choses d'une importance tout-à-fait relative. Mais surtout parce que, à défaut de d'entreprendre des choses utiles dans votre vie, vous réalisez ici un acte d'une convenance plus que remarquable faisant percevoir à la société qu'être inutile est une activité en soi.

Vous voici à présent armés et prêts à employé ce mot d'un intérêt tout-à-fait limité.

13 décembre 2010

All i want for christmas

noel_cheminee_00001Cher père noël,

Cette année j'ai été sage. Petit papa Noël, (quand tu descendras du ciel) tu ne trouveras pas mes petits souliers. Mais si vraiment c'est important pour toi, merci de t'arranger avec un certain M. Louboutin. D'ailleurs il n'y a pas de cheminée chez moi, tu devras passer par la porte comme tout le monde et n'hésite pas à parquer tes rênes sur la place visiteur dans le garage.

Je t'envoie ma liste en pièce-jointe au format pdf. Si pour une fois tu pouvais respecter ma liste ce serait sympas, les années précédentes nous ont prouvé que visiblement, tu n'as vraiment pas un don pour l'improvisation. L'année passée j'avais demandé des amis, pas des boulets. J'avais aussi mentionné ma carence en humour, il semblerait que rien n'ai été entrepris à ce sujet non plus. Et pour info, j'arrive toujours en retard aux cours alors que j'avais bien précisé que c'était un cadeau nécessaire et non un caprice.

Alors cette année, va pour le réveil mais alors celui qui simule le levé du jour et qui fait le bruit des petits oiseaux dans forêt. En ce qui concerne l'airbus A380 pour mes déplacements, n'oublie pas de mettre un pilote avec... ou alors un permis c'est comme tu veux. Petite précision pour l'île de vacances que j'ai demandé, elle doit bien évidemment pouvoir accueillir l'avion sinon ça sert à rien.

Le reste de la liste est assez claire je crois, mais si tu as des questions n'hésite pas à me contacter ou m'envoyer un nouveau téléphone parce que le mien bug un peu des fois.

 

Merci d'avance,

A Noël

23 octobre 2010

J'aime bien travailler, mais ça dépend des jours. Il y a des jours pour et des jours pour pas travailler

travailAprès vous avoir donné des bonnes raisons pour interrompre vos révisions et prolonger vos pauses… voici enfin de quoi vous déculpabiliser de ne même vous mettre au travail.

 

L’excuse timing

Personnellement, je trouve que l’on est pas encore réellement rentrés dans la matière du cours. Ce serait une perdre de temps que de travailler sur l’introduction, autant attendre jusqu’au moment où les cours aborderont le sujet en temps que tel ; c’est alors que l’on saura vraiment que retenir de l’introduction !

 

L’excuse utilisation des ressources limitées

A l’heure actuelle je préfère me concentrer et consacrer toute mon énergie à la réalisation des projets notés car c’est grâce à ceux-ci qu’il nous est donné d’utiliser la substance du cours et comprendre fondamentalement leur intérêt.

 

L’excuse maximisation du bien être

Pour ma satisfaction, il est indispensable de prendre le temps nécessaire à la bonne compréhension de la matière traitée en cours. Je préfère dédier tout mon temps libre au stockage des données déjà accumulées dans mon lobe frontal.

 

L’excuse j’ai-juste-pas-envie-parce-que-je-suis-trop-fainéant(e)-et-désorganisé(e)-pour-me-mettre-au-travail-maintenant-et-de-toute-façon-même-si-je-décidais-de-bosser-maintenant-je-ferrais-des-pauses-longues-et-inutiles-donc-vraiment-à-quoi-ça-sert-finalement !

14 septembre 2010

Le tour du monde en (pas) beaucoup de saveurs (dans ma cuisine)

cuisin11

La bonne nouvelle quand on est étudiant et fainéant, c’est qu’on a beau « étudier » dans une ville, on peut tout de même faire des découvertes culinaires surprenantes.

Je ne parlerai pas d’art de la cuisine, car dans ce cas présent le mot « cuisiner » serait abuser de façon malhonnête des hyperboles. Parce que vraiment, enlever le film protecteur de la lasagne, l’introduire dans le four et la retirer 20min plus tard… c’est juste un don que l’on possède tous (ne pas oublier de préchauffer le four) !

 

Alors au lieu d’étaler l’un de mes « nombreux » « talents » qu’est celui de la cuisine, la fine stratège que je suis préfère exercer mes aptitudes d’organisation (des fois les études ça apprend des méthodes trop top) et optimiser mon bien être en laissant les autres personnes faire les choses dont que je n’ai pas les dispositions.

 

Tout ça pour dire que vraiment après le libanais, l’italien, le chinois, le japonais, le(s) américain(s)… c’est lassant. Heureusement qu’il existe le micro-onde !

 

Ma vie culinaire est lamentable !

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8 août 2010

You could only see that I, would never forget, anyways

86803978Ce qu’il y a de bien avec les départs, c’est qu’on a la chance unique et inestimable de pouvoir dire au revoir à tout le monde. Oh et puis de toute façon on se quitte jamais réellement depuis que skype existe.
En plus il n’y a pas de quoi se sentir seul vu que tout le monde « Oui oui je viendrai te voir pour sûr, en plus j’ai toujours rêvé de visiter… tu pars où déjà ? ». Mais tu sais « Je suis sûr que tu vas tellement t’amuser, ah ouai un an là-bas… quand même… », « Tu vas tellement me manquer, quand tu reviens… tu reviens pas ? Bon alors profites bien ».

Souvent ce n’est même pas le cas parce que « nous on se revoit de toute façon », c’est faux. Mais au moins on aura évité un au revoir.
Alors pour mes « amis » à qui j’aurais épargné la punition du moment d’adieu, je ne vous oublie pas :

Chers amis, chère famille, chers autres, Dans quelques jours je m’en irai. Je pars affronter la vie sans vous, je pars à la conquête du monde. C’est pas que vous êtes des boulets mais il fallait bien que je trouve une excuse pour vous quitter. Vous me manquerez tous terriblement, chaque jour j’aurai une pensée à tous ceux que j’ai laissé derrière moi.
Je n’oublierai jamais les instants magiques que nous avons passé ensemble et je me dirai que quand même, je m’en sors pas trop mal par rapport à vous.
Que Dieu vous bénisse et que vous pleuriez mon départ.

30 mai 2010

Il est grand temps de faire une pause, De troquer cette vie morose, Contre le parfum d'u

pause_estivale_L_1Il faut avouer qu'il y a un domaine dans lequel mes connaissances sont infinies en matière de révisions. Déjà j'excelle dans l'élaboration d'excuses pour ne pas travailler... parce que je ne prend jamais de journée de congé sans raison juste, légale et totalement fondée! Mais il y a une pratique sur laquelle je suis totalement incollable: la pause.

Pour ceux qui ne le savaient pas, la pratique intensive de pauses peut mener à la pratique exclusive de pauses... c'est mal. C'est pour cette raison que je m'interdis souvent la pause; la rechute est si proche.
Mes étudiants préférés sont ceux qui pratiquent la micro pause. « T'es encore en pause?! » « Ouai mais moi c'est pas pareil je suis accroc à la nicotine! ». C'est souvent la raison légitime (ou pas) de la pratique de la micro pause. Comprenez par ce terme pause très courte (peut cependant varier dans le temps) à intervalle rapide. Ce sont mes préférés car ces gens me distraient et, alors que plongée des mes révisions et imperturbable (la preuve), je les vois partir au loin exercer leur don de micro pauseur, j'ai l'impression de travailler (pas du tout je les regarde).

Il y a ceux qui, à l'inverse, pratiquent longue pause souvent à intermittence plus importante mais nettement plus entendue dans le temps. « T'es encore en pause?! » « Non je viens de sortir ». A savoir que les dangers de la longue pause sont réels et peuvent toucher n'importe qui. Après 30min de pause, la force nécessaire (qu'elle soit physique ou psychologique) pour retourner travailler pour s'avérer être défaillante ou tout simplement absente.

Bien sûr la si connue pause café: encore juste une excuse parce qu'on s'endormait sur son livre. La pause nourriture: parce qu'on peut pas travailler sans énergie et le risque d'hypoglycémie nous guette. La pause appel urgent parce que forcément il n'y a pas d'autre moment pour appeler sa grand-mère, son docteur ou son chirurgien plastique...

Et puis il y a la dernière catégorie: celle de ceux qui font des pauses de distance temporelle infinie. Comprenez ceux qui ne pratiquent dans leurs révisions que le principe de pause. La réponse est oui, il est juste de considérer cela comme une pause. Elle n'est juste pas déterminée dans la durée et peut parfois durer plusieurs années.

Pourquoi se le cacher? La pratique de la pause n'est qu'une parade parmis d'autres pour échapper au moment fatidique d'ouvrir ses bouquins et se dire que quand même, on est pas en avance sur son programme!

20 mai 2010

Et je noie mon ennui profond, pour une heure, tout au fond, d'un apéro

osthumb_280x280_coffret_aperitifIl n’y a qu’une chose vraiment bien quand on est étudiant, c’est les conférences. Enfin pas la conférence en elle-même… l’apéro.
Ne venez pas me dire que vous ne connaissez pas ce moment magique entre deux révisions (ou deux pauses) quand quelqu’un vous annonce la fin d’une conférence. Votre cerveau ne fait qu’un tour et associe directement cet événement à : manger !

Enfin manger pas sûr, absorber diverses matières solides et liquides oui.
Il y a celles qui donnent tout en mode petits fours et brochettes de fruits (ça sent les gros budgets)… et les autres. Celles qui n’ont pas pensé nous. Alors que, dépité de n’avoir pas pu assister à la conférence due à notre surcharge de travail pourtant si bien géré, notre seule et unique consolation restait de rencontrer, échanger et converser autour de petits fours. A la place, c’est chips low budget et cacahuètes bon marché !

Alors non, qu’on ne vienne pas m’expliquer que l’on ne m’a jamais demandé de venir parce que oui, j’ai le droit de me plaindre de la non abondance de brochettes de poulet et oui, j’ai le droit de critiquer les cet apéritif pas du tout à la hauteur des standards.
C’est quand même un comble de vanter un apéritif et de n’être servi que de breuvages médiocres et d’aliments douteux !

Je ne cache pas ma colère, je suis outrée par le manque de professionnalisme de certaines associations !

Ps : pour tous mes « amis » membres actifs d’associations d’étudiants diverses et variées, je ne vous en veux pas. Je sais que vous n’êtes pas les uniques responsables !

26 avril 2010

Cher M

imagesCher M (pour Mickael),

Je dois te l’avouer, en te voyant rentrer dans la ferme célébrité… j’ai eu peur. Peur que ce buldozer, cette merveille de la télé-réalité et concentration de matière grise te détruise. J’ai cru un instant que ce personnage fascinant qui est le tien allait être térassé pas si peu de respect et de discernement.

Bien mal me pris de penser telle idiotie, c’est avec zèle et dévouement que tu as montré que Mickael n’était pas qu’un simple produit d’un ramdam télévisuel.

Exit Greg Basso et autre David Charvet, la star (et je pèse mes mots), le bogosse ici, c’est toi. Que les maîtres nageurs de Malibu ou Millionaires d’un soir partent se rhabiller car le seul corps qui ne vaille d’être exhibé est le tien.

J’ai toujours cru en toi, je savais au plus profond de mon cœur que ton torse huilé s’exporterait hors des frontières. C’est aujourd’hui chose faite.

Le Bogoss from Groslaid, ça ne s’invente pas. C’est pourtant ainsi que tu as su admirablement représenter ce que sont tes vraies valeurs. Tu es notre Obama à nous, notre exemple, lorsque je te voyais prendre ton courage à deux mains fermes et solides pour assumer seul la dure mission de traire une vache ; je l’avoue, j’ai à maintes reprises crié pour toi « yes you can ! ».

 

Je tiens encore à remercier les autres fermiers pour t’avoir si bien mis en valeur. Je frissonnais devant ma télévision à l’annonce de chaque élimination. Sûre de ton potentiel, je doutais du public qui n’aurait pas saisi l’ampleur du miracle que tu es.

 

Bien à toi, une fidèle admiratrice

 

20 mars 2010

Ah les crococos les crococos les crocodiles

C’est la fin d’une ère, la fin d’une époque, la prise de la bastille (mais en pire). Les crocs ne se vendent plus. La sandale qui a révolutionné le monde de la chaussure s’éteint tout doucement.

Toutes les belles histoires d’amour ont une fin. De Georges Bush à Roselyne Bachelot, le monde les vénérait. 100 millions de paires vendues en 7 ans, de quoi faire taire les mauvaises langues qui ne croyaient pas au succès des chaussures arc-en-ciel.

 

Je ne vous cache pas ma tristesse. Moi qui avait découvert ce phénomène lors d’un voyage exotique où j’avais pu admirer des troupeaux entiers de crocs traversant les trottoirs, évitant les flaques, bravant les intempéries… L’extinction de la race me chagrine.

J’aime croire que j’ai porté les crocs avant l’heure, bien qu’il n’y ait pas d’heure pour porter des crocs. On ne porte pas des crocs pour la mode mais pour le confort qu’elles nous apportent. La mode, par définition, est passagère… mais il est à présent temps de militer pour le retour de la matière anti-champignons (trop glamour) et que je puisse ainsi porter mes crocs vertes fluo sans craindre de me faire arrêter.

 

Je pense créer une pétition pour le retour des crocs dans les plus brefs délais. Mais je dois auparavant finir mes projets de défenses des chaussettes dans les sandales, des semelles lumineuses et des talons compensés façon Spice Girls.

 

 

Que de combats légitimes…

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